La CNV pour les personnes responsables dans l’éducation/accompagnement des enfants, des jeunes, des adolescents
Communication NonViolente et éducation: comment (re)tisser des liens et (r)établir une relation confiante et constructive
Vous voulez,
✔️ Tisser une relation sincère et consciente avec vos enfants, vos élèves,
✔️ Sortir des paradigmes binaires: bien / mal, vrai / faux, gentil / méchant, etc. pour aller vers la compréhension des besoins,
✔️ Apprécier et questionner quelles sont vos croyances au sujet de l’éducation,
✔️ Apprendre à nouer et renouer des liens avec les jeunes afin de rétablir la relation, sortir de la domination, des jeux de pouvoir, pour soutenir la motivation, l’envie d’apprendre et de contribuer,
✔️ Nourrir une relation de confiance construite sur l’écoute et l’empathie avec les jeunes, que ce soit des bébés, des enfants ou des adolescents,
✔️ Clarifier vos intentions éducatives (et pédagogiques),
✔️ Arriver à exprimer clairement quand « ça va » et aussi quand « ça ne va pas » grâce aux sentiments, aux besoins, aux demandes claires, aux cadres posés en clarté
✔️ Cultiver le calme, la patience, l’assertivité, l’ancrage pour offrir un appui de sécurité et soutenir votre propre bien-être
Découvrez notre formation certifiable sur l’accompagnement des enfants, jeunes et adolescents
Toute personne ayant effectué au moins 2 jours de formation en Communication NonViolente
Le 5, 6 et 9 décembre 2024. Rue Luther 52, 1000 Bruxelles
Prix réduit (particulier / secteur non-marchand / bénévoles): 360 euros pour 3 jours. Prix entreprise: 570 euros pour 3 jours
Objectifs de la formation
Nous transmettons en priorité à l’enfant ce que nous sommes, notre façon d’être, Catherine Gueguen
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Aller vers un état d’être dans l’ouverture avec une forme de clarté: clarifier vos besoins, vos intentions éducatives et être pleinement disponible dans la relation (nommer et rencontrer les besoins de chacun)
- Développer sa capacité d’écoute en sécurité intérieure
- Établir les fondations afin de bâtir une relation éducationnelle saine: “Quand on parle, très souvent on exige, on juge, on culpabilise, on accuse, on veut avoir raison… Toutes ces façons d’échanger coupent la relation”, Catherine Gueguen
- Susciter et vivre la coopération: sortir du schéma de l’obéissance au détriment du sens, de l’engagement et de l’envie de contribuer
- Commencer à percevoir ce qu’est une autorité bienveillante et commencer à l’incarner
- Nous détacher de nos croyances, de schémas d’éducation hérités: “Nous ne sommes pas condamnés à reproduire les mauvaises relations que nous avons subies dans notre enfance“ Catherine Gueguen
- Sortir du phénomène punition / récompense et aller vers un feedback constructif
- Sortir de la confusion entre les comportements, les stratégies et les besoins
- Comprendre l’impact de la violence et de la bienveillance sur le développement du cerveau
“Préfères-tu être heureux ou avoir raison ? Tu ne peux avoir les deux. Le « J’ai raison » empêche l’échange et la relation, ferme la discussion, c’est une position de pouvoir et de domination,” Catherine Gueguen
Public cible
- A tous les adultes référents auprès des enfants, des jeunes, des adolescents.
- A toute personne ayant un rôle éducatif, à titre parental ou professionnel, tous secteurs éducatifs confondus. Que vous soyez éducateur.isses, animateur.isses, puéricultrices, professeurs, parents.
Méthode
- Dynamique participative: alternance entre théorie et pratique
- Jeux de rôle / mises en situation autour d’exemples concrets, apportés par chaque participant.e.
Votre formatrice
🎓 Formatrice Certifiée en Communication NonViolente
🎓 Praticienne et formatrice en Bal-à-Vis-X
🎨 Artiste pédagogue mouvement dessin
👥 Membre du groupe Ess’αimer CNV-Education
🎭 Comédienne
🩰 Danseuse
🎬 Participe à la mise en scène de projets danse et théâtre jeune public
« Élever un enfant, c’est se poser cette question : que souhaitons-nous transmettre à nos enfants ? Quand l’enfant est frappé, le geste de frapper est reproduit dans son cerveau, il apprend ce geste. Voulons-nous lui apprendre la violence ? Quand l’enfant est câliné, il apprend la tendresse. Préférons-nous lui transmettre et lui apprendre les gestes d’affection ? Aussi étonnant que cela puisse paraître, l’affection, la tendresse se transmettent et s’apprennent, comme leur inverse, la violence. L’enfant nous imite, nous lui transmettons en priorité ce que nous faisons et ce que nous sommes,” Catherine Gueguen